LA VERITE

Dernière mise à jour : le 24 août 2011


L'homme naît de la féminité et passe sa vie à la chercher.

A sa naissance, en quittant le ventre de sa mère, l'homme perd un monde de bien-être, de douceur, de chaleur, où il fusionnait avec la femme, où il ne faisait qu'un avec la féminité. Un état extatique sans jugement d'autrui, sans devoir, sans interdit, sans besoin, mais où l'homme est totalement dépendant de la femme.

Que l'accouchement se passe bien ou mal, l'homme perd cet état, en le vivant comme un déchirement. Il cherche alors à le retrouver, à préserver cet état fusionnel avec la femme. Il a besoin de retrouver cette chaleur, cette sécurité, et de se nourrir au sein de sa mère pour survivre.
Toujours totalement dépendant de la féminité, mais à travers des besoins vitaux. Se nourrir du lait de la femme, se réchauffer, recevoir l'attention et l'amour de la femme, sentir sa peau, ses seins, ses vêtements féminins, se sentir protégé du monde extérieur par des bras doux et aimants, s'abandonner totalement à cette dépendance.

Ainsi l'homme naît dans la dépendance à la féminité, le besoin de fusionner avec elle et le désir de prolonger cette dépendance.
Sa mère est alors tout ce qu'il connaît, c'est son Univers, et il en fait partie, car il fusionne totalement et il lui faudra des années avant de prendre conscience qu'il est un être distinct de sa mère. Il devra rapidement apprendre à obéir à sa mère pour continuer à être aimé, apprécié, et satisfaire ses besoins.

En chaque homme demeure une partie de cette féminité, l'image de la divinité féminine, ce que j'appelle l'Essence Féminine. Mais les contraintes de la vie vont développer son ego, pour s'adapter avec plus ou moins de bonheur à des parents exigeants, anxieux ou marqués par une société malade : la frustration, la peur, le jugement, l'identification à des croyances, le mental sur-développé... pris dans le tourbillon pervers d'une société destructrice enfermée dans la course à la performance, au "progrès", dans le "faire", dans la violence et l'inconscience, l'homme va réussir à acquérir au mieux une certaine autonomie, mais surtout progressivement développer une cuirasse le coupant de son ressenti, et oublier sa véritable nature, et celle de la femme.

L'homme reste toutefois dépendant de son Essence Féminine car c'est dans sa nature.
La féminité rend fou la plupart des hommes, mais au lieu de s'y abandonner dans l'amour inconditionnel, ils chercheront à la contrôler, à la posséder. Coupé de son ressenti et de sa partie féminine l'homme va continuer à développer son ego, dans un état de semi-conscience qui va le faire rechercher la domination de la féminité à travers le pouvoir social, la puissance matérielle, l'intelligence mentale sans se rendre compte qu'il s'en éloigne de plus en plus.
Se cherchant lui-même et son Essence Féminine, souhaitant inconsciemment retrouver son état extatique initial, il va rechercher en permanence la féminité à travers le sexe, vivre ses relations avec les femmes dans un rapport de force, à la fois fasciné, dépendant, et désireux de rester "fort" et indépendant.
Ainsi naît la domination perverse masculine sur la féminité, le symbole de la puissance utopique du phalus.
Et l'homme croit avoir le pouvoir, il croit choisir ses conquêtes féminines, il croit posséder une femme en la pénétrant... alors qu'en réalité, et de manière souvent inconsciente, c'est la femme qui séduit, qui choisit l'homme, et "mange" son sexe pour obtenir ce dont elle a besoin pour perpétuer la vie!
Souvent l'homme ne recontactera son Essence Féminine qu'à travers sa pulsion sexuelle, qui le poussera à donner son sperme à la femme et permettra aux ADN de fusionner pour créer un nouvel être. La puissance de la pulsion sexuelle sera telle que l'homme sortira de son ego et recontactera son ressenti de fusion et d'abandon total à la femme, au moins durant le temps de l'orgasme, pour retomber ensuite dans ses schémas défensifs et se fermer à nouveau.
C'est pourquoi maintenir un homme, même blindé et coupé de son ressenti, dans un état d'excitation sexuelle pendant longtemps, lui permet de ressentir son Essence Féminine. S'il est assez conscient, il aura envie de vivre sa féminité et obéir aux femmes.

Désirer fusionner avec la femme au cours de l'acte sexuel, c'est désirer faire un avec elle, c'est désirer devenir une femme, c'est recontacter sa partie féminine. Ainsi naît la fascination des hommes à se transformer en femme.

Beaucoup d'hommes sont capables de recontacter leur Essence Féminine, mais comme une soupape de sécurité, à travers les fantasmes de Domination/Soumission, de fétichisme et de travestisme. Malheureusement ils restent inconscients de leur nature profonde, et cherchent à imposer leurs fantasmes à leur partenaire, sans même se rendre compte qu'ils se comportent en dominateurs.

Mais les hommes restent des enfants qui toute leur vie cherchent leur Essence Féminine. Ce serait une grande erreur que de penser qu'ils deviennent autonomes, virils et matures sans avoir intégré leur Essence Féminine.
J'en ai pour preuve les centaines d'hommes qui me contactent. Certains travaillent comme des fous pour s'approprier le pouvoir de l'argent et séduire les femmes.
D'autres cherchent à contrôler le monde et les autres, ils créent des entreprises et se montrent forts, virils et confiants en eux-mêmes en toutes circonstances, et sont en fait au fond d'eux-mêmes de petits enfants vulnérables et sensibles qui feraient n'importe quoi pour trouver une dominatrice capable de les féminiser, de les corriger et de les dresser!
D'autres recherchent toute leur vie une femme qui joue le rôle de mère, et cherchent à fusionner avec elle.
D'autres encore, sacrifient leur carrière, leur fortune ou leur vie, pour une femme, ou un simple rapport sexuel.
D'autres, dans le désir d'être conformes aux règles sociales, répriment tellement leur partie féminine qu'ils sont déprimés, agressifs, ou névrosés toute leur vie.
D'autres tentent de vénérer la féminité par le fétichisme des vêtements et accessoires féminins.
D'autres hommes, que je ne rencontre que très rarement sur ce site, font de l'Essence Féminine leur identité et sont homosexuels.

La féminité contrôle le monde.
Lorsqu'elle demeure en l'homme sous forme d'ombre, donc inconsciente, refoulée, réprimée, elle fait de lui un être apeuré, insatisfait, destructeur, morcelé, déchiré intérieurement.
La société va  récupérer le pouvoir de la féminité et l'instrumentaliser à des fins de marketing. En observant bien, on se rend compte que la moitié des publicités utilisent la féminité.
L'idée de Déesse et de domination féminine est souvent suggérée pour toucher les inconscients, de façon très hypocrite là aussi...

Seule une minorité d'hommes, suffisamment conscients, bravant les tabous, les interdits de la société, suffisamment forts et courageux pour accepter la vérité, recontactent leur ressenti, reconnaissent leur partie féminine, et le pouvoir divin de la femme qui crée la vie.
Ils recontactent leur nature profonde et aspirent à la vivre pleinement, sans rien renier : avoir les mêmes comportements féminins acceptés dans notre société pour les femmes, c'est-à-dire épanouir sa sensibilité, sa douceur, sa créativité, s'habiller en femme, vivre toutes ses émotions, s'occuper des enfants.
Un regard honnête sur eux-mêmes leur montre la vérité : leurs qualités masculines ne doivent pas être au service de la destruction de la planète, mais au service de la femme qu'ils aiment : la protéger, la servir, la reconnaître en tant que Déesse, protéger et éduquer leurs enfant avec une vraie intelligence féminine, celle du ressenti, de l'émotion, de l'écoute.
Etre capable de lui faire l'amour comme un homme, mais aussi comme une femme, dans la douceur et la tendresse.
Etre un chevalier servant, musclé et protecteur face au monde extérieur, mais aussi un être vulnérable et sensible capable de vivre sa féminité.
Ce sont alors des Hommes.
Ils savent que leur sexe appartient à leur femme qui seule peut décider de leur orgasme.
Le coeur et le sexe deviennent indissociables.
Ils font l'amour en conscience, sans être hypnotisés par leur désir, ou par leur recherche de plaisir.
Ils savent vénérer la femme de leur vie et lui obéir.

Mais pour en arriver là les hommes doivent faire un véritable parcours du combattant.
Accepter leur partie féminine, à contre-courant des croyances de la société, vivre leur féminité en secret, dans la honte, la culpabilité, la moquerie, se confronter à leur compagne souvent déconnectée de leur divinité, choquée et dans l'incompréhension totale. Des drames de malentendus se vivent dans la souffrance sans que personne n'y comprenne quoi que ce soit.
L'ignorance, la bêtise et l'intolérance viennent souvent contribuer à l'incompréhension : un homme s'habillant en femme étant considéré comme efféminé, faible, homosexuel, ou pervers, bizarre, ridicule.

Les Femmes qui ont recontacté leur divinité acceptent la nature profonde de l'homme et se comportent en Déesses, justes, confiantes et épanouies dans leur féminité, utilisant sereinement leur pouvoir, créant une harmonie parfaite dans le couple, et contribuant à l'harmonie dans le monde.

Mais la plupart des femmes sont emportées dans le même tourbillon que les hommes. Elle vont alors exercer leur pouvoir divin d'une façon inconsciente et perverse.
La séduction leur permettra par exemple de s'attirer les faveurs des hommes et de se sécuriser matériellement.
Multiplier les conquêtes pourra leur donner un sentiment de puissance en tentant de combler leur vide intérieur généré par leur déconnexion du divin féminin.
Beaucoup entretiendont la domination masculine par leur comportement passif et soumis de femmes "faibles et fragiles", induisant par dessous des exigences inconscientes de performance, de virilité et de toute-puissance chez leur mari, qui se verra en même temps reprocher son manque de tendresse et d'écoute!
Si elles rencontrent un homme qui souhaite se soumettre à elles, elles seront choquées et refuseront, car déconnectées de leur divinité elles seront sur la défensive, dans la peur du regard des autres, ou de ne plus être ce qu'elles croient être, et chercheront à le contrôler hypocritement en le forçant à rester dans le modèle social.
D'autres femmes se rebelleront ouvertement contre la domination masculine, mais au lieu d'utiliser le pouvoir de la féminité, utiseront la même violence que les hommes et trahiront leur divinité.

Et tout ce beau monde tente d'avancer dans la vie, coupé de sa nature profonde, enfermé dans son mental,  frustré, névrosé, hypnotisé par les valeurs-phares matérialistes, conditionné, ne vivant qu'une partie de lui-même, taisant le reste par peur du regard des autres.
Tel est le résultat du mental fou, de l'inconscience, de l'instinct grégaire, de la peur de la différence : la vie est étouffée, le naturel diabolisé, les être humains sont morcelés intérieurement, coupés du sens de la vie.
Mais la vraie folie, n'est-ce pas perdre son centre, son Essence, vivre à travers la peur et confier sa vie au pilote automatique qui obéit à des lois stupides, vivre comme des robots?
Je sens la colère monter en moi en écrivant ces lignes, une colère juste, nourrie par la souffrance des hommes et des femmes qui me contactent à travers ce site, qui souffrent de l'incompréhension et recherchent veinement l'harmonie et la plénitude dans leur couple.

La perversité c'est le fait d'imposer à l'autre autrechose que ce qu'il est, c'est nier sa nature, son ressenti, ses pensées, ses besoins, et lui imposer une autre "vérité".
Alors qui est pervers?
Les hommes qui veulent vivre leur nature profonde, ou bien ceux et celles qui leur refusent ce droit?

j'ai souvent interrogé des gens en leur demandant ce qu'il pouvait y avoir de ridicule dans le fait qu'un homme s'habille en femme, ou obéisse à une femme.
Je n'ai jamais eu de réponse.
Tout se passe comme si c'était "comme ça".
Point.
Le ressenti de ridicule semble fort mais il n'y a pas d'explication. N'est-ce pas à cela qu'on reconnaît un conditionnement?
Ou bien est-ce inné?
Non car les bébés ne connaissent pas le ridicule : ils acceptent la réalité avec ouverture et intelligence.
A moins que ce ne soit ridicule parce qu'un homme est un être supérieur, et que ressembler ou obéir à une femme qui est un être inférieur, est ridicule??
D'autres explications?
Mais si vous-même ressentez ce ridicule, qui choisit en vous? Regardez bien. Qui choisit? Est-ce vraiment vous?

Depuis la création de TransForMale il y a trois ans, des dizaines de milliers d'hommes du monde entier ont visité mon site, heureux d'y trouver une reconnaissance.
J'ai reçu de nombreux remerciements et encouragements. J'ai coaché de nombreux couples et mené une bonne partie d'entre-eux vers une relation épanouie. Je suis heureuse d'avoir contribué au bonheur, au plaisir, à la libération et à l'ouverture d'esprit de centaines de personnes.
Ce n'est pas une fierté mais un bonheur parce que c'est simplement ma mission.

Mais le conditionnement social est très fort, et il faut du temps pour que les hommes et les femmes se libèrent de leur carcan pour se mettre à respirer librement.
Lâcher les peurs, les préjugés, les habitudes, les vieilles croyances... et vivre enfin ce que l'on est, dans l'amour de l'autre et de la vie. Vivre sa vérité intérieure. Etre soi-même.

A quand la fin de la préhistoire? A quand le début de la civilisation?

 

Charlène & Nicolas

 

 

Bhagwan Shree Rajneesh

Publié le 27 décembre 2012

"Il est bon d'aspirer, mais vous verrez que c'est très difficile à réaliser, parce que nous avons oublié comment faire. Pas tout à fait, cependant, parce que nous avons trouvé des palliatifs. Au sein de la mère, nous avons substitué la cigarette. Et quand la fumée chaude pénètre en vous, cela ressemble au lait chaud de la mère.
Ainsi, souvent, ceux qui n'ont pas pu être élevés au sein maternel, sont de grands fumeurs. C'est un substitut, mais c'est un substitut qui fonctionne. Oubliez la cigarette, oubliez le fumeur, devenez l'acte de fumer.
Il y a l'objet aspiré, il y a le sujet qui aspire, et le processus d'aspiration. Devenez l'aspiration, devenez le processus. Essayez. Essayez avec différentes choses. Vous trouverez celle qui vous convient.
Vous buvez de l'eau. L'eau froide pénètre en vous; devenez l'acte de boire. Ne buvez pas l'eau. Oubliez l'eau. Oubliez-vous, vous-même et votre soif. Soyez simplement le fait de boire. Le fait même de boire. Devenez la fraîcheur de l'eau, la sensation qu'elle vous procure, son passage dans votre bouche, et les muscles qui travaillent pour l'avaler.
Pourquoi? Que va-t-il se passer? Si vous devenez l'acte d'aspirer, que se passera-t-il? Si vous arrivez à devenir l'aspiration, immédiatement, vous deviendrez aussi innocent qu'un nourrisson. Parce que c'est un acte primordial. Vous allez régresser, en un sens, mais la nostalgie de l'acte est là, en vous. Au plus profond de vous. Vous essayez de trouver différents substituts, mais si vous ne devenez pas l'acte lui-même, rien ne pourra vous aider. Alors, essayez.
J'ai proposé un jour cette méthode à un homme. Il avait essayé beaucoup, beaucoup d'autres méthodes, avant de venir me voir. Je lui ai dit, "si je vous demande de choisir une chose, une seule chose, dans ce monde, que choisiriez-vous?" Et je lui ai dit de fermer les yeux et de me répondre sans réfléchir. Il a eu peur, il a hésité, alors je l'ai rassuré, "n'ayez pas peur, n'hésitez pas. Soyez franc, dites-moi ce qui vous vient à la pensée". Il m'a répondu, "c'est peut-être absurde, mais c'est l'image d'un sein qui m'apparaît". Il était rempli de honte. Alors, je lui ai dit, "ce n'est pas la peine d'avoir honte. Il n'y a rien de honteux dans un sein. C'est une des choses les plus belles qui soient. Alors, pourquoi vous sentir coupable?"
Il me dit alors, "mais c'est une obsession chez moi. J'aimerais que vous m'expliquiez pourquoi, avant de me proposer votre technique. Pourquoi les seins des femmes m'intéressent tellement? A chaque fois que je regarde une femme, ce sont ses seins que je regarde. Le reste de son corps me semble secondaire".
Cet homme n'est pas le seul de ce genre. Il en est de même pour presque tous les hommes. Et c'est bien naturel, parce que le sein de la mère a été le premier contact avec l'univers. C'est fondamental. Le premier contact avec le monde, c'est le sein de la mère. C'est pour cette raison que les seins sont si attirants. Qu'ils vous semblent magnifiques, qu'ils attirent votre regard. Ils possèdent une force magnétique. Et cette force magnétique provient de votre inconscient. C'est la première chose avec laquelle vous êtes entré en contact. Et le contact était magnifique, merveilleux. Il vous donnait la nourriture, la vitalité instantanée, l'amour, tout. Le contact était doux, accueillant, séduisant. Et c'est ainsi qu'il est resté dans votre pensée.
J'ai dit à cet homme, "à présent, je vais vous donner une méthode. Aspirez, et devenez l'aspiration". Je lui ai dit, "fermez les yeux. Imaginez la poitrine de votre mère ou d'une autre femme. Imaginez et sucez comme si c'était un véritable sein. Sucez le sein".
Et il suivit mes instructions. En trois jours, il aspirait si vite si follement, il en était si enchanté, qu'il me dit, "c'est incroyable, j'ai envie d'aspirer le monde entier. C'est absolument merveilleux et cela m'apporte un tel silence intérieur!"
En trois mois, l'aspiration devient, pour lui, un geste silencieux. Les lèvres cessèrent leur mouvement de succion. On ne voyait pas qu'il faisait quelque chose. Mais la succion intérieure avait commencé. Il aspirait toute la journée. C'était devenu un mantra, un japa (répétition du mantra).
Au bout de trois mois, il vient me voir et me dit, "il m'arrive quelque chose d'étrange. Il me semble qu'une substance douce se déverse de ma tête sur ma langue continuellement. Et c'est si doux, tellement rempli d'énergie, que je n'ai plus besoin de me nourrir. Je n'ai plus faim. Je continue à manger simplement par habitude. Je mange pour ne pas inquiéter ma famille. Mais quelque chose me nourrit continuellement, quelque chose de doux, quelque chose de vital".
Je lui conseillai de continuer la technique. Trois mois passèrent encore, puis il revint me voir, comme un fou, dansant devant moi, "le mouvement de succion a disparu, mais je suis différent. Je ne suis plus l'homme qui est venu vous voir la première fois. Une porte s'est ouverte en moi. Quelque chose s'est brisé; je n'ai plus de désir. Maintenant, je ne veux plus rien. Pas même Dieu, pas même le Moksha. Je ne désire plus rien. Maintenant, tout est parfait tel que c'est. Je l'accepte et je suis heureux".
Essayez-vous aussi. Aspirez et devenez l'aspiration. Cette technique peut être utile à nombre d'entre vous, parce qu'elle fait appel à quelque chose de fondamental."

OSHO Bhagwan Shree Rajneesh






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